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26 mai 2011

Serbie : le gouvernement Tadic livre un soldat contre un droit d'entrée dans l'UE

europe,serbie,union européenne,otan,identité,islamisationLa Serbie - ou plutôt le Gouvernement de Boris Tadic - vient d'acheter son ticket d'entrée pour l' Eurocratie en livrant le général Ratko Mladic aux inquisiteurs du Tribunal Pénal International de La Haye dont, le moins que l'on puisse dire, la légitimité est contestable.

Ancien chef militaire des serbes de Bosnie, accusé évidemment de crimes de guerre par les vainqueurs de la Serbie, Ratko Mladic a pu échapper à la traque des sbires du TPIY durant 16 ans gràce au soutien de ses compatriotes dont nombre le considèrent comme un héros de l'identité chrétienne serbe face à l'Islam.

Il aura fallu l'arrivée du très européiste Boris Tadic au pouvoir pour que la Serbie cède aux pressions des USA, de l'OTAN, de l'Union Européenne et du bidule de La Haye. Condamné à l'avance dans ce qui sera une mascarade judiciaire, Ratko Mladic a tout simplement été vendu pour prix de la prochaine entrée de la Serbie dans l'Union Européenne et de quelques subsides. Tout cela n'est guère reluisant.

YD

  

 

30 novembre 2010

Eurocratie : des fonctionnaires en plus, une Task Force Roms et toujours la Turquie !

Le dernier numéro de " l'Europe en France " - la lettre de la représentation en France de la Commission Européenne nous apprend :

europe_cout_site.jpgd'abord, que le SEAE ( Service Européen pour l'Action Extérieure ) sera opérationnel au début janvier 2011, il est censé permettre " à l'Europe " d'aller de l'avant pour construire un service purement européen, moderne, efficace pour le XXie siècle " et la doter " d'un véritable corps diplomatique pour mener une politique étrangère plus forte, plus cohérente et mieux coordonnée " Basé à Bruxelles, le SEAE va employer 5000 personnes, dont 60% de fonctionnaires permanents et au moins 30% de diplomates, pour seconder dans ses tâches Catherine Ashton, la "Haute Représentante de l'Union pour les Affaires Etrangères et la Politique de Sécurité". Le budget alloué au SEAE sera de 470 millions€ pour 2011, on se demande bien pour quoi faire puisqu'il ne saurait " se substituer aux Chancelleries des Etats membres ";

puis, que dans sa grande bonté, la Commission Européenne a gelé la procédure d'infraction dilligentée contre la France à cause des expulsions de Roms survenues cet été, suite à l'engagement pris par le gouvernement français de transposer dans son droit les dispositions de la directive européenne sur la libre circulation des personnes...autrement dit de ne plus expulser de Roms, lesquels d'ailleurs bénéficieront de fonds spéciaux alloués aux Etats membres pour leur intégration; qui plus est, une Task Force Roms veillera à "encourager les bonnes pratiques" à prendre en faveur des Roms;

enfin, que si le coup d'envoi des négociations avec l'Islande, en vue de son adhésion, étaient maintenant et fort justement en cours, d'autres pays frappent à la porte de l'Union, à savoir dans l'ordre ( croissant et de préférence ?) la Macédoine, la Croatie et...la Turquie

Un seul commentaire sur ces bonnes nouvelles d'Eurocratie: Sécession !

YD

    

 

26 novembre 2010

Suisse encore : l' UDC dit non au modèle d'enfer fiscal eurocratique !

101101Steuerinitiativef.jpg

Parallèlement à la votation sur l'explusion de la racaille étrangère, les citoyen(nes) helvètes pourront se prononcer après-demain sur une initiative du parti socialiste intitulée " pour des impôts équitables, stop aux abus de la concurence fiscale "

Une initiative taclée par l' UDC qui a démontré que - sous prétexte de "justice fiscale" - le texte vise à permettre l'ingérence du gouvernement confédéral dans la politique fiscale des cantons et des communes. A l'heure actuelle, l'autonomie fiscale prévaut, les cantons et les communes - donc les citoyen(nes) suisses, pas les technocrates gouvernementaux - décident du niveau de l'impôt et de l'offre publique, c'est le principe de subsidiarité, qui reconnait que les cantons et les communes sont mieux placés que le gouvernement confédéral pour décider de quelles prestations ils ont besoin ou même simplement envie et pour en fixer le financement par l'impôt.

Comme l'a fait remarquer le Conseiller aux Etats Germann Hannes (UDC)  " en cas de Oui à l'initiative fiscale du PS, les règles fiscales seraient dictées par la Confédération, les impôts sur le revenu et/ou sur la fortune devraient être augmentés dans pas moins de 14 cantons. L' initiative du PS affaiblit un modèle qui a fait ses preuves sur la place économique suisse. Les augmentations d'impôt ont un effet dissuasif sur les bons contribuables, le potentiel des nouveaux arrivants et les entreprises. Cette initiative serait le premier pas en direction d'un cartel de lourde imposition dans le plus pur style de l'Union Européenne ! "

Décidément, la Suisse est un laboratoire d'idées et un exemple en cette matière comme en tant d'autres. Le principe de subsidiarité - que les socialistes helvètes veulent battre en brêche - est pourtant de simple bon sens : l'Etat n'a pas à intervenir là ou des communautés régionales ou locales peuvent se suffire à elles-mêmes. Il faudrait nous en inspirer en France en instaurant plus d'autonomie pour nos Provinces et en Europe en refusant le principe de prééminence automatique de la législation européenne sur celle des Etats membres en tous domaines. Changeons notre Constitution et faisons sécession d'avec l'Union eurocratique ! 

En attendant, bonne chance aux Cantons et aux citoyen(nes) helvètes soucieux de liberté !    MPD   

 

22 novembre 2010

L'Europe des banques : le peuple irlandais humilié !

L'Union Européenne, épaulée par le FMI, va donc sans doute prêter 90 milliards€ au secteur bancaire irlandais, c'est à dire finalement à l'Irlande où l'Etat (actionnaire dans nombre d'établissements bancaires et qui a nationalisé l'Anglo-Irish Bank) s'est imprudemment porté garant des dépôts et de quasiment tous les titres de dettes des banques.

europe-et-euros.jpgL'Irlande n'est pas en faillite, l'Etat n'y est pas à court de liquidités (à la différence de ce que connaissait la Grèce par exemple) et n'a pas développé de dépenses publiques hors normes, mais le pays est plombé par son engagement auprès de son secteur bancaire lequel s'est lancé avec frénésie dans les prêts immobiliers, octroyant largement et sans contrôle digne de ce nom des prêts qui ne seront jamais remboursés.

Le Gouvernement irlandais aurait pu choisir de laisser les banques non viables faire faillite ( les dépôts d'épargnants étant garantis à hauteur de 50000€ ), les imprudences des banquiers n'auraient lésé que leurs actionnaires et leurs créanciers. Il a préféré faire endosser les erreurs des banques par le contribuable irlandais; il est vrai poussé en cela par l'Union Européenne à la solde des financiers qui craignent que la ruine de banques irlandaises n'entraine des pertes considérables pour les établissements financiers des autres Etats membres ( surtout les banques britanniques) qui détiennent des obligations bancaires irlandaises.

Les irlandais(es) vont donc devoir rembourser 90 milliards€ ( à 5% d'intérêt ) et plus que probablement subir un plan d'austérité draconien parce que leurs dirigeants ont choisi de sauver les banques et leurs actionnaires. Qui plus est, le Peuple irlandais est présenté comme le parent pauvre à qui on fait la charité parce qu' il est incapable de se tirer d'affaire tout seul. 

Ce sont bien les marchés financiers qui ont fait plier le gouvernement irlandais d'abord réticent à toute forme d'aide, ce sont bien les financiers qui mènent l'Union Européenne. Sécession !

YD

 

02 octobre 2009

Erin : et si c' était encore NON !

CDC08.jpgLes irlandais(es) votent depuis ce matin 7h. Ils pourront le faire jusqu' à 22h. De façon scandaleuse, ils votent pour la seconde fois en quinze mois sur le même sujet : le  " traité de Lisbonne" qu' ils ont rejeté en juin 2008, qu' on leur ressort et qu' on leur ressortirait sans doute une troisième fois s' ils obstinaient à ne pas en vouloir.

Après plus d' un an de propagande massive, de lavage de cerveau médiatique, de promesses et de menaces de la part des responsables de l' Union Européenne, de subventions à relent simoniaque même, le citoyen irlandais est paraît-il prêt pour le OUI. Personne ou presque n' envisage le NON qui ne pourrait provenir que d' un entêtement à proprement parler diabolique, on évoque simplement un OUI timide, un OUI de guerre lasse en quelque sorte.

Et si c' était encore une fois NON ! Le NON de femmes et d' hommes fiers et libres qui n' entendent pas se laisser dicter leur conduite et qui ne veulent pas de cette Europe destructrice des identités, celles des peuples, des provinces et des nations.

Et si c' était NO dans la verte Erin !

Y.D